Nathanael L. Yoon
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 Sujet: Nathanael L. Yoon is a Strawberry hunter<3 Lun 20 Juil - 20:27 |
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Nathanael Lysander Yoon
Age : 19 ans et quelques poussières
Origines : Coréen
Hôte [ ]Vacancier [X ] Employé [ ]
Code règlement :Okay By Ele
MAX CHANGMIN [img]  [/img] | Il y a des gens bien simple. Ces personnes qui sont si prévisible que vous savez ce qu’ils vont dire avant même qu’ils n’ouvrent la bouche. Et bien… Je suis navrée de vous dire que Nathanael ne fait pas partie de ces gens là. En fait, il est plus du genre compliqué, à avoir une façon différente de réagir pour chacune des personnes qu’il rencontre. Vis-à-vis de quelqu’un qu’il ne connaît pas ou entouré d’une foule, Nathanael est timide et parle peux. Si vous passez suffisamment de temps avec lui, vous remarquerez qu’il évite le plus possible d’établir de contact physique, mais qu’il est plus à l’aise avec une fille qu’avec un garçon. Il gardera, tout au long de la conversation, un sourire poli, mais vous aurez la désagréable impression qu’il ne dit pas tout ce qu’il pense ou qu’il se fiche de vous. En réalité, c’est qu’il ne sait tout simplement pas jusqu’où il peux allé. Parce que, voyez vous, en compagnie d’amis il change du tout au tout. Il devient une boule d’énergie maladroite. Pour lui, tomber par terre, glisser dans les escaliers ou se cogner la tête sont des choses du quotidien. Il est un véritable fanatique des fraises et peu en consommer des quantités industrielle (ce qui se solde normalement par un mal de ventre d’enfer). Il adore également les animaux et ne peux s’empêcher d’essayer d’attraper un chat errant. Il prend des photos de tout et n’importe quoi, parfois même de gens qu’il ne connaît pas. Il devient collant, voir énervant. Il aime prendre les gens dans ses bras, ou leurs ébouriffer les cheveux… Cependant, il ne tient la main que des gens qu’il aime particulièrement. Et oui, parce que notre Nathanael est plutôt cliché côté amour. Il est délicat et attentionné, il aime écouter la personne qu’il aime parler. Mais, il redevient aussi timide que devant un étranger et il demanderas toujours, ou presque « Es-ce que je peux t’embrasser ? ». Les rares exceptions seront surtout lorsque la jalousie le tenaillera. Comme il a eu de la difficulté à se faire des amis en Amérique, il a toujours, tapis au fond de sa tête, la peur que quelqu’un les lui enlèves. Il n’aime pas être seul pendant une longue période, mais, à l’opposé, il ne peut supporté d’être entouré trop longtemps. Et il a, depuis sont plus jeune âge, une peur atroce du noir.
En réalité, trois mots décrive parfaitement Nathanael : une grosse peluche.
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L’endroit est envahi d’un tel nombre d’écho qu’il en parait silencieux. Ces centaines de bruits de pas appartenant à des inconnues se transformes en doux murmurent en rencontrant les parois du plafond voûtés. De longs bancs s’alignent le long des fenêtres qui donne sur la piste d’atterrissage, offrant du repos aux passagers éreintés qui viennent de passer les douanes. Une femme s’en approche, cherchant quelqu’un du regard. L’une de ses mains tient un gobelet de café fumant alors qu’à l’autre pend un sac de papier blanc, tout droit venu d’un stand un peu plus loin, contenant une pâtisserie soit trop sec, soit trop grasse. Elle repéra finalement le jeune garçon et soupira de soulagement. Elle avait craint, pendant un instant, qu’il ne se soit enfui. Elle s’approcha et s’assit à côté de lui. L’adolescent ne tourna même pas la tête pour la regarder. Le front collé contre la vitrine glacé, il regardait les engins volant avec appréhension. Puis, ses lèvres bougèrent.
- Pourquoi dois-je partir en Amérique, déjà ?
La femme ne répondit pas, tournant son visage triste vers la fenêtre à sont tour. Déposant le gobelet à côté d’elle, elle passe sont bras autour des épaules du garçon et l’attire jusqu’à elle.
- Parce qu’on ne peux rien y faire.
~*~
C’est une belle journée pour la saison des pluies. Le ciel est chargé de gros nuages gris, mais ils s’espacent en quelques endroits pour laisser percer le soleil et donner de faux espoir de beaux temps. La cloche de l’école annonçait la fin des cours et, bientôt, ses portes déversèrent une marée d’enfants dans la ville. Alors qu’ils flânaient entre amis, rentrant à pied ou à vélo, l’un deux se dépêchait à rentrer chez lui, courant presque. Empruntant un dédalle de ruelle connu de lui seul, il arriva devant l’immense bloc appartement en quelques minutes à peine. Sa mère n’aimait pas qu’il prenne ce raccourci, ayant peur des gens qu’il pourrait y rencontrer, mais il faut avouer que c’est vachement pratique ! Saluant une vieille voisine, il grimpa les marches quatre à quatre avant de s’arrêter devant la porte d’un vert délavé qui abritait son foyer. Il sortit une clé de sa poche, la fit tournée avec difficulté dans la serrure puis entra en refermant silencieusement derrière lui. Il retira ses souliers en lançant des coups d’œil dans l’appartement. Sur la pointe des pieds, il se glissa dans le couloir et se dirigea vers les chambres. Il lança son sac à dos sur son lit sans même regarder dans la pièce puis, il poussa la porte de la deuxième chambre. Il trouva la salle plonger dans le noir. Son cœur fit un bond et un grand sourire éclaira son visage. Aussitôt, il sauta sur le lit avec de grands cris de joie, cherchant à tâtons un corps endormi. Après une minute, comme il ne trouvait toujours pas, il se releva et alluma la lumière. Le lit était vide, comme le reste de la pièce, d’ailleurs. Il resta un long moment, debout, à observer le lit défait, puis il se pinça les joues pour chasser la tristesse qui l’avait prit à la gorge. Éteignant la lumière, il alla au salon, allumant la télévision au passage, puis pénétra dans la cuisine pour préparer le repas. À huit ans à peine, Jae Min sait s’occuper de lui-même. Il fait le ménage et prépare la plupart des repas. Il vit seul avec sa mère depuis toujours, son père, un américain, les ayant quittés peu de temps après sa naissance. Cependant, sa mère travaille beaucoup. Il ne comprendra que beaucoup plus tard qu’elle avait plusieurs emploies à la fois. Il savait qu’ils n’étaient pas riches et s’ils étaient pauvres, i l n’en a jamais eu connaissance.
Il n’avait pas à se plaindre de sa vie. En fait, elle était plutôt belle : il était indépendant, bon élève et avait plein d’amis avec qui dissiper l’absence de sa mère. Seulement, tout cela bascula l’année de ses 15 ans. Le déclencheur : une lettre en provenance d’Amérique. Lorsqu’il était rentré chez lui ce soir là, Jae Min avait été surpris de trouver une enveloppe d’allure plutôt officiel au milieu des journaux, publicité et facture d’électricité. Comme ses notes en anglais étaient horriblement basse, il va sans dire qu’il ne comprit rien à ce qui était écrit sur l’enveloppe, mais au nombre de timbres et d’étampes qui la parsemait, il avait comprit qu’elle avait fait un long chemin avant de leurs arriver. Il l’avait laissé sur le comptoir, se fichant un peu de ce dont il s’agissait et était immédiatement ressorti pour rejoindre des copains au centre ville. Il avait sût que quelque chose clochait lorsqu’il revint le soir et trouva sa mère dans la cuisine. Elle était censé travaillé dans un restaurant ce soir là. Puis il avait remarqué ses épaules qui tremblaient. Elle pleurait ? La fameuse lettre n’était autre qu’une ordonnance de la cour. Après délibération, ils ont donné la garde de Jae Min à son père qui, pourtant, ne lui avait manifesté aucun intérêt pendant les 14 premières années de sa vie. Il devait aller le retrouver dans un mois et un jour… à New York, en Amérique.
Jae Min ne s’était jamais préoccupé de son père. Non, il était parti il y a des années : qu’es-ce cela lui faisait ? Mais, à ce soir là, il le haïssait de tout son être.
~*~
Le couloir menant aux douanes paraissait effroyablement court à Jae Min. Il n’avait aucune envie d’être là. Avoir pu, il se serait caché dans un coin de la Corée jusqu’à ce que son père redonne sa garde à sa mère, mais, apparemment, il n’avait aucun droit de décision. Il réussit à passer les douanes de justesse, Jae Min parlant autant anglais qu’un chat aboie. Puis, la liberté. Le voici devant les grandes portes, se demandant s’il doit sortir ou attendre que quelqu’un vienne le chercher. Il fit quelques pas, indécis, puis aperçu un homme tenant une pancarte blanche sur laquelle il apercevait des Hangul. A bien y regarder, il reconnu bientôt son nom. Jae Min Yoon. Il fonça sur l’homme à la vitesse de l’éclair, se sentant complètement perdu dans cette foule. À son grand étonnement, l’homme lui paru sympathique. Vêtu d’un costume cravate noir, ses cheveux étaient emmêlés et il avait, sur le visage, un sourire chaleureux en vous en faire fondre l’âme. Il s’arrêta à deux pas de lui et demanda, incertain :
- Euh… Vous êtes… mon père ?
- Oh ! Mr. Yoon. Your father’s waiting in the car. Please, follow me.
Jae Min n’y a rien comprit, mais le « Mr.Yoon » lui à fait comprendre que cet homme n’était pas son paternel. Il le suivit tout de même, sortant dehors, le suivant un moment sur le trottoir. Puis, ils arrivèrent devant une voiture noire. Jae Min avait l’impression d’être dans un mauvais film à l’occidental. L’homme qu’il avait prit pour son père ouvrit une portière et lui fit signe d’entrer. L’adolescent se retrouva sur la banquette arrière, alors que sont regard croisait, dans le rétroviseur, celui de la personne assise côté passager. Des yeux bleus. Il fût étonné de l’entendre parler coréen.
- Tu ne me ressembles pas du tout, c’est décevant.
- Euh…
- Tu sais parler anglais ?
- Non.
- Tu devras apprendre, et très bientôt, je n’ai pas l’intention de te garder à la maison pendant des mois.
- P-pardon ?!
- Oh. Nathanael Lysander Yoon. C’est comme ça que tu t’appelles maintenant.
Jae Min était estomaqué. Ces à peine s’il arrivait à sentir sa mâchoire qui s’était décroché dès la deuxième phrase qu’avait prononcer son père. Le vrai, cette fois. S’il avait espéré, pendant ne serais-ce qu’une seconde, qu’il soit gentil et amusant, le voilà bien déçu.
Ses premières années en Amérique l’on marqués. Au fer rouge, s’il vous plaît. Non seulement parce qu’il devait apprendre à parler une autre langue, mais aussi parce qu’il n’arrivait pas à s’intégrer dans son école. En Corée, les garçons font ce qu’on appelle du Skinship. Ils se prennent dans leurs bras, se complimentes sur leurs corps… certain vont même jusqu’à s’embrasser sur les joues ! Nathanael ignorait qu’il n’existait pas de telle relation dans les autres pays. Aussi, les autres commencèrent à le considérer comme gay. Cela commença par des murmures, des rumeurs puis, bientôt, les insultes et quolibet fusèrent de partout. Nath fût profondément blessé et c’est à cause de cela qu’il à cette personnalité aujourd’hui. Les années passèrent. Ses relations avec sont père ne s’améliorait pas, mais il ne voulait pas s’en rapprocher, de toute façon. Il commença à traîner un appareil photo partout où il allait, prenant des clichés de toutes les choses qui attirent sont attention pour les envoyés, un peu plus tard, à sa mère, en Corée du Sud.
Et puis voilà, qu’un jour, son père doit allé en Irlande tout l’été, pour cause de travaille. Obligé de suivre le mouvement, Nathanael décide de trouver un endroit où il pourrait vivre en paix alors que sont père voyagerais dans tout le pays…
Dernière édition par Nathanael L. Yoon le Lun 20 Juil - 20:40, édité 1 fois
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Crédit : KAMI, myself. >.>
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| Sujet: Re: Nathanael L. Yoon is a Strawberry hunter<3 Lun 20 Juil - 20:29 |
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BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE. 
Mais genre on t'attend depuis des siècles. XDDD
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