haylinn juddi jefferson •• « comeongirls »

Haylinn Juddi. Jefferson

Identité

Age : 22 ans
Origines : je viens de londres mais ma mère est irlandaise ( pourtant je n'ai jamais visité l'île de la guiness )
Vacancier
Code règlement : Code Correct

la sublime kristen stewart
haylinn juddi jefferson •• « comeongirls » Hippien

Caractère

Je n’ai jamais su me décrire parfaitement parce que je ne me vois pas. Quand j’agis mal ou bien ce n’est pas pour moi mais pour les autres. C’est pour eux que je révèle mon caractère. D’accord j’ai une personnalité et c’est donc moi qui me la suis forgé mais j’ai dit « je ne sais pas me décrire parfaitement ». Enfin puisque vous voulez tout savoir sur ma vie trépidante, allons – y. Commençons par le début donc. Je suis d’abord quelqu’un de très sensible qui pleure souvent pour un rien mais c’est changeant parce ce que si vous me laissez dans une pièce toute seul et qu’on me passe des blagues débiles, je peux rire comme par miracle. Disons que j’ai une personnalité assez complexe, d’ailleurs je n’hésite pas enchaîner des conneries pour me sortir d’un mauvais pas ou pour simplement oublier la souffrance. Avec un père comme le mien, je vous jure que vous voyez des démons, partout. Mais pourtant, je ne suis pas quelqu’un de très extravertie, non, je suis quelqu’un de vraiment très rêveur et qui n’aime par partager sa bulle. Avec moi, vous n’avez pas très grande concurrence car je ne suis pas quelqu’un d’ambitieux et sûr de lui. Et puis trop folle par moment pour penser à quelque chose de très sérieux mais je ne me verrais pas comme comique parce que comme je vous l’ai dis l’avenir ce n’est pas trop mon truc et que je ne suis pas à l’aise sur une scène. De plus, je suis irresponsable, je me contente juste donc d’être vendeuse dans une petite échoppe de mode qui a poussé comme des champignons. Je vends aussi des bracelets et des boucles d’oreilles aux puces crée de mes propres mains. Ca me permet donc de survivre en ayant un petit pactole. L’argent ne fait sans doute pas le bonheur mais il y contribue fortement. , je trouve. J’aime le sport aussi et je suis très dynamique. En plus du violon et du travail, je fais de la GRS et un footing tout les dimanches matins. Je suis quelqu’un de très pressée .Les vacances à la pension mélangeant détente , balade et soleil vont me faire le plus grand bien.

Histoire

Seules les personnes atteintes du syndrome de Peter Pan ne veulent jamais aller de l’avant et sont instables dans le monde adulte. Je ne fais pas partie de ses gens là, je suis tout l’opposé. Retourner dans l’enfance m’importe peu puisque que personne n’aimerait retourner dans l’enfer. Je préfère même rester là ou j’en suis en temps que femme mûre et responsable. Aujourd’hui, je m’épanouis autant que je peux avec ma petite sœur Emily mais même les sourires d’une petite fille n’enlèvent pas les coups et les blessures de la vie, malheureusement. On est tous victime un jour ou l’autre. Ma mère Moira a toujours habité en Irlande et n’a jamais vu d’autre île que la sienne, aussi, la première fois qu’on lui a proposé d’aller à Londres, elle a sauté de joie loin de ce douter que son séjour se transformait en voyage de noce. Très vite ma mère se trouva un goût pour les partys londoniennes. Mon père ( enfin la brute qu’il est devenu ) était déjà un habitué des pubs. Ensuite vous savez la suite, ma mère est restée plus longtemps qu’elle le devait et paf elle est tombée enceinte. C’est le 17 mai 1990 sous la pluie bien entendu, caractéristique principale de Londres que je vis le jour dans la petite clinique juste t’en face de l’hôtel ou résidait mes parents, mon père paraissait content et ma mère vraiment soulagée. Il faut dire que son accouchement à été l’un des plus coriaces de la ville et j’aurais même pus avoir ma photo dans le Guinness des Records pour avoir le temps le plus long à me faire naître. Malgré que ma mère me raconta ma naissance dans les moindres détails je n’arrivai pas à mettre des images sur ses mots. Et c’est beaucoup plus tard quand ma mère se remaria et eu Emily que mon souvenir remonta au lointain. Je grandis jusqu'à mes 5 ans dans une vie de princesse de conte de fées, mon père étant reporter voyageait beaucoup et nous emmenai à chaque fois avec lui dans l’avion. C’est ainsi que je vis des immenses lacs, des animaux magnifiques, des paysages majestueux et plus beaux monuments du monde. C’est ainsi que je passai mes étés en Inde à me faire prendre en photo devant le Taj Mahal ; à me baigner dans les magnifiques eaux du Pacifique , à aller aux quartes coins de la mégapole qu’est New York en rencontrant les plus grands artistes du moment telle que Madonna ou Mickaël Jackson et à aller à Cannes côtoyer les plus grandes stars de cinémas en les voyant chaque soir dans leur loge et me tendant chaque fois un cadeau des plus magnifiques. Parce que partout où il allait mon père était l’ami des stars. Mais il y avait une autre facette de lui que personne n’appréciait : la brute. Je n’ai jamais su s’il frappait ma mère parce qu’il avait trop bu d’alcool ou simplement pour une raison plus sordide. Chaque soir qui arrivait, il rentra et ce mettais en colère, frappais ma mère qui s’efforçait de ne rien révéler. Je restais souvent sur mon lit à pleurer en silence et à plaindre ma mère, j'étais triste, vous ne pouvez pas imaginez à quelle point. Jusqu’au jour ou il entendit ma souffrance et me frappas moi aussi. Et le matin, il arrivait avec ce petit sourire ridicule et personne ne disait rien au petit déjeuner, moi j'allais à l'école et mes parents allaient travaillez. C'était toujours le même rituel sauf les semaines où il partait. Il ne nous emmenait plus désormais mais cela suffisait amplement à faire notre bonheur, finalement. J'avais honte de me dire que nous étions de simple mauviette parce que si ma personnalité avait été plus affirmé, cela aurait stoppé et je n'aurais plus à avoir cette lourde charge d'accompagner ma mère dans ses épreuves. Ma mère quand à elle à mes 13 fit le bon choix, elle quitta mon père au moment de son déclin, il perdit son travail et nous ne souciâmes plus de lui. J’en fus presque même à en sauter de joie, quand elle épousa David et eu Emily, ma demi-sœur que je considéras vite comme ma petite sœur. Et dire que cela ne se passa qu’en un an et demi ou presque. Et je grandis avec des revenus moyens mais il m’en suffisait peu pour être heureuse et je n’aurai échangé pour rien au monde la place que j’avais auprès de ma mère. Lors de ma majorité je partis et fis au revoir à la vie de famille pour habiter dans mon propre studio où je commenças petit à petit à apprendre le violon ou conservatoire. Ma vie fut littéralement changer et au bon sens du terme par Elwin Cowden. Avant son arrivée, je me contentais d’un train-train quotidien lassant en traînant mes pieds touts les soirs pressée de retrouvée les bras de Morphée. Je ne me remercierai jamais assez d’avoir fait de la musique. Il m’avait tout de suite percuté cet Adonis, sa démarche, et puis son visage et ses yeux, mon dieu ses yeux. Je ne sais pas ce qu’il avait pensé de moi, d’ailleurs, il m’a toujours refusé de le dire. Je pense qu’’il a du se sentir scruté et me prendre pour une folle. Comme toutes les personnes qui me croisent en fait. Je tomba immédiatement amoureuse de lui. Nous étions devenus amis et pourtant, j’avais toujours cette boule dans la gorge qui me sciait la respiration. Chaque fois que je le voyais, j’étais au paradis nuageux. Et lui dans cette histoire, éprouvait-il une forte attirance pour moi ? Que voulez-vous, l’amour rends aveugle et je n’aurais jamais du penser à une chose pareil pourtant et j’en ai honte, c’est moi qui fit tout basculer à cause de ma non-responsabilité. Je n’oublierais jamais le geste qu’il a fait pour moi. C’était un soir de mai et qu’en je dis soir je ne joue pas sur les mots. Cela faisait le 4eme devoir que je n’avais pas rendu et si pour le lendemain tout n’était pas mis en ordre, je connaîtrais la porte. Je n’ai jamais été très sûr de moi mais je pensais que cela marcherait. « Peut-être que la chance tourne à présent » m’étais-je dit la veille, c’est donc avec sureté que je m’étais aventuré dans l’établissement jusqu'à qu’IL arrive. Pourquoi fallait-t-il à ce moment là que je perde tous mes moyens et à m’éterniser sur ses yeux pour m’empêcher de regarder mes chaussures. Et pourquoi me retardait-t-il ? J’avais pourtant essayé de ne pas lui dire la raison mais j’avais craqué et il m’avait promis son aide une fois de plus. Et quelqu’un se pointa. J’aurais préféré aller à la porte pour travail que par discipline mais ma vie se résumait à ça, l’horreur. Je n’oublierais jamais la preuve de courage qu’il a fait pour moi, il m’a demandé de partir. Naïvement, je lui avais demandé « Et toi ? » et il m’avait répondu quelque chose du genre « Ne t’en fais pas je m’en sortirais » et c’était les derniers mots que j’avais entendu de lui. Il avait été expulsé. Dire que cela fait trois ans trois ans que je m’en veux, 3 ans que j’ai éperdument envie de le revoir. Et si Riviera Sun changeai l’histoire.