Qui n’a jamais rêvé d’avoir un accouchement sans douleurs ? Tout les femmes du monde, mais certaine n’ont pas eu de chance. Nous étions à Londres, dans une belle après midi de Mars, les beaux jours revenait et les naissances se fessait de plus en plus souvent. Nous aurions put croire que le printemps fessait naitre nos beaux bébé anglais dans les choux. Les bébés ne naissent pas dans les choux, avait alors dit une petite fille dans une émission de show tv. Pendant se temps, le futur enfant prend tout son temps pour sortir, alors que la mère devient complètement hystérique. Injuriant au passage son médecin – qui a déjà fait plus de cents accouchement et commence à être habituer à tout cela – cette même femme sert plus fort la main de son mari. Lui-même t’étant en train de faire une grimace, non d’impatience, mais parce que sa femme lui fait un mal de chien. Voila un peu la scène qui se passa à l’un des hôpitaux de Londres, en se samedi neuf de mars mille neuf cent quatre-vingt onze à dix-huit heure trente cinq. Madame Jenkins perdait patience. La petite fille qu’elle allait mettre au monde prenait tout les temps qu’elle souhait pour enfin sortir du ventre de sa mère.

« Madame Jenkins, poussez une dernière fois » déclara le médecin
« Chéri, je n’en peut plus… Qu’elle sorte immédiatement… » Se plaint l’épouse
« Ben… écoute le docteur Mr Artur et pousse… bon sang… Ne fait pas ta tête de mule maintenant » grogna son mari – tout en serrant les dents sa femme lui planté encore plus ses ongles de harpie.

Dix minutes après cet échange, la jolie petite fille était sortie. Portant maintenant les prénoms de ses arrières grands-mères : Chelsea Mina Jenkins. Etant la première fille de l’heureux couple, elle n’aurait dut manque de rien. Détrompé vous, même si l’on vit d’une famille aisé ou bien plus riche encore… nous ne somme pas toujours à l’abri du malheur et de la solitude. Un jour alors que la petite Chelsea avait dans les environs de huit ans, elle alla voir son père :

« Papa …»
« Oui… Chelsea… »
« Je pourrais avoir une petite sœur ? Je m’ennuie toute seule.»
« Humm… quoi ? Va donc demander à ta mère… je travaille… »

Il n’avait même pas écouté se que sa fille avait à lui demander. La petite fille s’empressa d’aller voir sa maman, qui celle-ci, était en pleine séance de yoga. Demanda à sa mère, si elle pouvait avoir un autre petit frère ou petite sœur. Celle-ci la regarda avec des yeux noirs. Mme Jenkins lui fit comprendre que sa naissance, à elle, avait été trop douloureuse et qu’elle ne retenterait plus cette expérience douloureuse. La jeune enfant, regard incrédule sa mère, repartant en pleur dans sa chambre. Ayant grandit bien trop vite, la jeune femme fut extrêmes timide et manqua énormément de confiance en elle. Au collège, elle fut surprise de rencontrée de filles qui voulait être amie avec elle. Sottise, Chelsea vous êtes trop naïve. Les autres l’avaient vite comprit. La manipulant se servant d’elle comme un gentil petit toutou. La demoiselle Jenkins ne disait rien, elle s’avait bien qu’elle était leur esclave mais fut plutôt contente de s’être trouvé des amis. Le malheur arriva dans la maison familiale, le père fut muté et il fallu aller à Dublin. Le cauchemar recommençait, elle avait quinze ans, elle était seule, sans amis et bien trop timide... Mais en y repensant, elle n’était pas la seul à se retrouvé dans son coin. Il y avait un garçon, différent des autres. Toujours seul comme elle, bien des fois elle serait allé le voir… mais Chelle avait eu peur d’être repoussait… Encore manipulait, puis viens un jour ou une des filles de son nouveau lycée, l’accosta et lui demanda de faire partie du fan club et de garçon là... Billie-Joe… ne sachant pourquoi on lui demanda sa elle accepta… malheureusement, il ne la remarquer pas préférant sortir avec deux des filles de se fan-club… Ils avaient quand même parlés plusieurs fois ensemble… puis pour le bal des terminales, la jeune femme avait pris son courage à deux mains mais fut devancés par cette foutue et jolie Alice… Chelle ne voulait plus y aller mais bizarrement BJ, l’appela car il avait besoin d’elle… elle avait cru que… qu’il s’intéressait à elle mais non… c’était pour fuir la soirée… il l’avait embrassé et ils ne s’étaient plus jamais revus… Puis, elle reçu une lettre comme quoi elle était invitée dans une pension appelée Riviera Sun. Pourquoi refuser, peut être pourrait-elle oublier un peu sa vie chamboulé à cause d’un simple baiser… La voila après un long voyage, une valise à la main et le cœur battant…