Galyah ▬ Clap Clap Clap (a)

v a c a n c i e r

Galyah Flicka Blueberry

Identité

Age : 18 ans.
Origines : Angleterrienne x)
Hôte [ ] Vacancier ]x] Employé [ ]
Code règlement : Code Correct!

Selena Gomez
Galyah ▬ Clap Clap Clap (a) Gomez45

Caractère

Histoire

L'histoire que je vais vous raconté, la mienne, il faut l'avouer est assez flippante. Faites de légendes urbaines, de meurtres, de joie, et de pleurs. Oui car tout d'abord, je l'ai vécut, évidement, je n'ai que 18 ans me diriez-vous, je n'ai pas pu vivre autant de chose, pourtant c'est bien la vérité, mais quand vous êtes caché dans l'ombre d'une jumelle dominatrice, des parents trop protecteur, une fille comme premier amour. Croyez-moi ou non, mais l'histoire que je vais vous compté est bel et bien réel. Surtout n'oubliez pas que c'est un secret, mon passé reste silencieux. Bref, commençons.

Dimanche 20 décembre dans le centre de Londres, Ivy Flicka Blueberry naquit, suivit de près par sa petite jumelle, Galyah Flicka Blueberry. Personne n'y croyait réellement, deux petites jumelles toutes mignonnes, les deux aux yeux brus fins, aux cheveux d'un beau brun foncé. Le rêve, pourtant, rien n'est parfait. Lara Flicka Blueberry, jeune russe et épouse de David John Blueberry, était folle amoureuse de son époux, lui aussi semblait réellement l'aimer, et cet heureux événement se transformait en cauchemar pour le jeune homme âgé de seulement 25 ans. Il ne voulait qu'un enfant, une fille ou un garçon, mais il y eut Galyah en cadeau. Donc moi. En faite, ma naissance s'est passé tout à fait normalement, comme une naissance de jumeaux normaux quoi. Ma mère m'a tout raconté, de plus, j'ai vu la vidéo d'après notre naissance, il est vrai que nous étions choux enveloppés dans notre espère de draps blancs tout doux, je nous revois vouloir explorer le monde. Puis forcément, nous grandîmes. Nous explorâmes l'énorme monde qu'était notre maison. Effectivement, Mr Blueberry était le fils d'un riche créateur de mode et d'un mannequin. Lors de la mort de ses parents durant un accident d'avion alors qu'ils allaient en France, David avait hérité d'une énorme fortune. Nous vivions donc très agréablement dans la banlieue de la capitale de l'Angleterre, j'ai nommé : Londres, l'une des plus belles destinations, enfin pour moi cela s'entend. Puis les années passèrent, Ivy et moi fêtions déjà nos 7 ans. La partie « explorations » de notre vie était finie, nous attaquions la partie « grandir sérieusement ». Ivy et moi étions inséparables, nous avions un meilleur ami, Arthur, un jeune français. J'avais tendance à me laisser marcher sur les pieds par ma jumelle, ce qui resta encore longtemps. Ivy s'était trouvé une passion pour la popularité, tandis que moi je m'en tenais au soccer qui restait de loin mon seul moyen de défoulement. De Londres, nous nous dirigions vers la France, Paris nous attendait avec hâte.

Nous avons énormément déménagé durant notre vie, c'est à peine si j'avais défait tout nos cartons. Bref, nous sommes restés 4 ans à Paris, histoire de faire notre scolarité collégienne, nous avions bien sûr beaucoup de mal à parler le français, mais les autres nous aidait. Parce que madame Ivy était la reine, oui THE reine x) Alors bien sûr, je restais dans son ombre, mais j'aimais cette place, à la fois populaire à la fois effacée, j'aimais ma vie en France. Pour ne pas rien vous raconter, parce que à dire vrai, il ne s'est rien passé de palpitant là-bas, nous avons juste compris le véritable sens des verbes grandir et mûrir. Quant à moi, je continuais le soccer, football comme ils disaient les frenchies, ma sœur, elle, s'était lancée dans la mode et avait pour but de devenir mannequin à seulement 15 ans. En même temps, elle avait tout, elle était fine, de taille moyenne, souriante, jolie, bref, elle était parfaite, du moins à mes yeux. Il y a une chose dont je me souviendrais toute ma vie, ma première fête. Il paraît qu'elle sortait souvent en douce la nuit, pendant que mes parents et moi dormions. Un jour, elle m'a tout avouée, elle se droguait chaque soir, elle fumait des Malboro, ce qui m'avait étrangement marqué, elle couchait, bref, elle avait déjà tout fait à 15 ans. J'eus beau lui faire la morale, elle réussit à me convaincre de l'accompagner dans une fête qui avait lieu le soir-même. J'acceptais et ce fut une erreur de ma part. Bourrée, droguée, shootée, cette nuit-là il se passa un truc que, cette fois-ci, j'aimerais oublié. J'ai couché, enfin, pas vraiment couché étant donné que je n'étais pas tellement consentante à être dépucelée ce jour-là, sauf que moi, je n'y pouvais rien, j'étais droguée, allez savoir ce que ma sœur avait mit dans mon verre pour que ce fichu mec me passe sur le corps.

« Oh la la, ma pauvre Poison, hop, un mec couche avec toi et hop, sayait ! C'est le bazar ! Faut que t'en parle à tout le monde ! Tu veux savoir ce que tu es ma pauvre ?! Un conne ! T'as osé me dénoncer ?! Moi, t'as soeur jumelle ! »

« Mais .. Ivy .. J'en ai parlé à personne .. C'est .. c'est .. lui .. »

Voyant la détérioration de ma sœur, ainsi que la mienne car je faisais tout ce que faisait ma sœur, nos parents décidèrent qu'il était temps de déménager de cette fichue ville qu'était Paris. Nous prirent l'avion pour aller dans Greenville au USA, nous étions finalement heureuses d'y aller car Greenville semblait être calme pour les parents mais pour les adolescents c'était une ville mouvementée, effectivement, les légendes urbaines y faisaient fureur. Je dois avouer que nous étions jolies. Nous avions 16 ans, nous approchions de nos 17 ans et j'étais heureuse de pouvoir suivre ma sœur. Même si je vivais, comme d'habitude, dans son ombre. Les gens nous aimaient. Enfin pas sûr qu'il m'aimait réellement. Les jeunes à Greenville étaient tous aussi bizarres que super. Ils nous racontaient sans cesse des légendes urbaines. Ivy et moi, nous avions décidé de s'inscrire au cours préféré des autres, celui justement qui traitait les légendes urbaines. Un jour, intriguée par certaines légendes, je décidai enfin de quitter ma sœur pour aller à la bibliothèque. Une fois là-bas, j'attrapai un livre sur les légendes urbaines. J'étais à fond dans ma lecture, mon cœur palpitait devant l'horreur des descriptions lorsqu'une main glaciale se posa sur mon épaule droite. Je fis un bon énorme et échappa un petit cri d'horreur. Je me tournai et découvrit la débile de service ; Malvyna Caldwell. Ma sœur ne l'aimait pas, alors je ne l'aimais pas. C'était bête hein. Pourtant lorsqu'elle fut face à moi avec son petit sourire, sa jolie tête blonde, l'air légèrement je-m'en-foutiste. Tout ses traits me firent sourire, je me surpris à lui parler avec gentillesse.

« Malvyna .. c'est ça ? Moi je suis .. »

« Galyah, je sais. La miss qui suit sa sœur partout, qui fait tout comme sa sœur. Tout le monde te connait cocote »

Dans sa voix, je perçut un grain de pitié. Avait-elle pitié de moi ? Je ne voyais pas pourquoi ? Elle avait sûrement raison, mais moi, j'étais comme ça. Au fil des mois, Malvyna et moi nous rapprochions l'une de l'autre, si bien que nous ne pouvions plus nous passer l'une de l'autre. Mais nous étions obligé de nous parler loin des autres. Que je traînent avec elle serait mon suicide social, ainsi que celui de ma sœur et là ce serait la pire des choses qu'il pouvait arriver. Une soirée, une semaine après mes 17 ans, Malvyna et moi étions prêt du petit lac de Greenville, seule, il faisait presque nuit et nous avions passé notre après-midi à nous baigner. Notre seul éclairage était nos portables et une modeste lampe-torche. Au bout d'un moment à se sourire dans le silence, elle se pencha vers moi et posa doucement ses lèvres sur les miennes. impossible de décrire le bonheur que je ressentis à ce moment là. Voilà, je le savais, je l'aimais. Cette nuit-là, ce fut la véritable première fois pour moi. La première fois que je fus si heureuse. J'oubliai enfin mon horrible souvenirs de la chose. Le lendemain, en me réveillant dans ses bras, je n'avais pas envie de dormir. Je me souviens, j'avais une main sur sa hanche en ouvrant mes yeux, elle me tournait le dos. Avec un léger sourire, je me mis à dessiner les ses courbes du bout des doigts. Elle frissonna et se tourna vers moi. Au bout d'une heure ou deux dans les bras l'une de l'autre, nous nous levions. Individuellement, nous regagnions nos maisons respectives. A ma grande surprise, je ne reçus aucun interrogatoire de la part de ma sœur. Mais j'obtins autre chose.

« GALYAH ! Je t'interdis de la revoir tu comprends ? Je t'interdis ! T'imagines la souffrance que tu ferais à notre mère si elle vient à apprendre que tu couches avec une fille ! Et papa ? Je crois qu'ils te détesteraient ! Tu n'as plus le droit de la revoir, compris ?! »

Bien sûr, je l'écoutai et le lundi, en cours, je ne répondis à aucun sourire ni regard amoureux de ma chère Malvyna. Je n'en avais plus le droit. Ma sœur me surveillait de près. J'étais interdite de bibliothèque et je devais suivre ma sœur partout où elle allait, y compris aux toilettes où je n'avais le droit de parler à aucune autres filles. Je commençais à me rendre compte de l'autorité que ma sœur avait sur moi. Mais je ne pouvais m'y défaire. Je n'étais rien ma jumelle. Ce fut un " beau " jour de juillet qu'une des amies proches de ma sœur fut tuée suivant une légende urbaine connue ; Jane, l'amie de ma sœur fut tuée dans la voiture de son frère qu'elle avait emprunté. On retrouva le corps décapité. Comme dans la légende. C'est alors qu'une longue série de meurtre suit. Toutes les personnes étaient proches de nous. Le petit ami d'Ivy fut retrouvé pendu à un arbre au dessus de la voiture où se trouve Ivy. Et pleins d'autre. Jusqu'à ce que ce fut le tour d'Ivy. Le 10 décembre, âgée d'alors 17 ans, Ivy Flicka Blueberry fut retrouvée charcutée dans une maison abandonnée. Le tueur, s'avérant être enfaite une tueuse, s'est donnée la mort après avoir tuée la jeune brune. Malvyna. C'était Malvyna, ma Malvyna. Ce fut comme une mort pour moi, j'entamais alors une longue décente aux enfers.

Tout de suite après les meurtres, les parents Bluebrry déménagèrent pour s'installer à Los Angeles. Grande ville. Là-bas, je fis de mon mieux pour être aimée, mais voyant ma mine abattue les gens n'étaient pas forcément attirés par moi. Mes parents me prirent des rendez-vous chez un psy. ce qui me fit croire que je devenais folle au départ. Mais finalement, je commençais à progresser. Je décidai de faire ce que ma sœur aurait voulut que je fasse. Je devins alors la plus sympathique des bitch. Fiesta tous les soirs, garçons et filles à gogo, drogues, alcool fort. J'aimais cette vie. Je sais que ma sœur aurait aimé être une reine, mais moi je me contentais d'admirer les reines. Je fêtais alors mes 18 ans toute seule. A vrai dire, je suis encore vraiment affectée par la mort de ma sœur.