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 Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.

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Auteur Message
Hyppolite Brushianni
Hyppolite Brushianni
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MessageSujet: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 18:16

Hyppolite. Brushianni


Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. Img-204514ymmfh

"Ils passeront sur toi comme un lourd attelage
De chevaux et de boeufs aux sabots sans pitié...
Hippolyte, ô ma soeur! tourne donc ton visage,
Toi, mon âme et mon coeur, mon tout et ma moitié,"

"Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles!
Pour un de ces regards charmants, baume divin,
Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles
Et je t'endormirai dans un rêve sans fin!"
BAUDELAIRE


Identité


    Age : 18 ans
    Origines : Americano italienne
    Hôte [ ]Vacancier [ X ] Employé [ ]
    Code règlement : Correeeeect


    SARA FORESTIER
    Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. AVATAR 200*320

    Caractère

      Instable, bornée mais reflechie. Sauvage et indomestiquée. Sensible mais cruelle. Agressive mais infiniment sociable. Hautaine. Meprisante, meprisable. Douce... et Garce. Putain. Catin. Anéantie, déluré. Dechirée, dechainée. Defoncée, droguée, camée. Junkee, depressive. Deprimé, deseperée. Euphorique, impressionable. Hallucinée, degoutée, surprise. Surprenante, amicale, originale. Imprevisible, tumultueuse. Compliquée. INQUALIFIABLE.
      Une infinité d'adjectifs mis au feminin pour donner un sens plus réaliste car oui Hyppolite est une femme. Lointaine, très lointaine là où les autres n'iront jamais poser un pas. Voila là où elle se situe. Quelque part entre l'autarcie et la dependance aux autres, un juste milieu. Une cigarette allumée en cuillère, un sourire qui sonne faux et une bouteille de mauvais rosé plus loin, les yeux brillants c'est là qu'on ne voit plus qu'une autre victime de la société de consommation. C'est ce qu'ils voulaient n'est ce pas? L'Etat au pluriel... avec une Majuscule. Qui est-elle? D'où vient-elle? Que vient-elle faire? Tant de question que l'on se posera sans chercher à y trouver de réponse, pour se conforter dans son propre doute. Il n'y a pas de mot juste pour parler d'Hyppolite, c'est un mélange subtile d'une infinité de tourments et c'est complexe à mettre en place. Vous allez donc vous fier aux lignes que je vais m'efforçer d'écrire avec brio mais dont jamais ne ne serai satisfaite pour vous donner une idée de qui peut-elle bien être. Déjà... elle n'est pas vous. Cela vous aide?
      Appelons la H. H aime qu'on s'occupe d'elle mais pas comme si elle était malade, avec affection. H aime les baisers fougueux, les etreintes charnelles. H aime manipuler les hommes, coucher avec et soutirer de l'argent, partir au beau milieu de la nuit en prenant soin de rapporter des souvenirs chez elle. H sait bien sur aussi être sincère mais c'est très rare, voir inexistant en ce moment, surtout avec les hommes. H est sauvage je l'ai déjà dis, mais ne cherchez pas à la dresser si elle vous méprise car le mépris engendre la haine c'est bien connu. H aime fumer, fumer tue mais H n'a pas peur de la mort, H la provoque. H aime s'autodétruire, n'a pas peur des gueules de bois et du saignement de nez. H au fond est morte de peur et c'est ça qui provoque sa profonde solitude, sa detresse et sa debauche. H a peur des autres, peur de leurs regards, peur qu'on lui fasse du mal. H a peur de souffrir et sa lui pourrit la vie car H au fond est une gentille fille. Mais H... mais H est tellement petrifiée. Comme sous anesthesie locale du coeur, des poumons... Paralysée.


      "Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
      Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
      Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
      II nous verse un jour noir plus triste que les nuits;

      Quand la terre est changée en un cachot humide,
      Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
      S'en va battant les murs de son aile timide
      Et se cognant la tête à des plafonds pourris;

      Quand la pluie étalant ses immenses traînées
      D'une vaste prison imite les barreaux,
      Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
      Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

      Des cloches tout à coup sautent avec furie
      Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
      Ainsi que des esprits errants et sans patrie
      Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

      Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
      Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir,
      Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
      Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir."





    Dernière édition par Hyppolite Brushianni le Lun 22 Juin - 12:44, édité 11 fois (Raison : Le titre ainsi que les extraits ou les poêmes de cette présentation sont tous des oeuvres de Charles Baudelaire)
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 18:22

    Bienvenue ! Bonne continuation pour ta fiche !
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 18:23

    Bienvenue! Merci de ton inscription & Bonne chance pour la suite! Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. 666491
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 18:25

      Haan je suis vraiment contente que tu te sois inscrite quoi Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. 898956
      BIENVENUE, bonne chance pour te fiche =P
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 18:25

    Merci à vous.
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      Welcoooome. (l)
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 18:43

      Bienvenue :D
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    Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. Vide
    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 19:00

      Bienvenue et bonne continuation !
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    Hyppolite Brushianni
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyDim 21 Juin - 19:12

    Thank you very very much! <3
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    Hyppolite Brushianni
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyLun 22 Juin - 12:43

    Histoire


      L'histoire qui va vous être racontée ne sera pas narrée celon les règles romanesques. C'est donc la raison pour laquelle je vais avant tout faire une introduction, pour expliquer briévement la situation de départ afin que la lecture de ce qui suivra ne vous soit pas trop éprouvante. Les parents d'Hyppolite se sont rencontrés à Rome, en Italie. La mère d'H était Italienne et vivait ici depuis sa tendre enfance, peintre de renomée mondial elle avait trouvé sa stabilité malgré le décès de père et la depression de sa mère et elle méritait le petit coup de pouce. Elle le trouva en un jeune Americain de vingt-cinq ans (elle en avait à l'époque vingt-et-un) qui était venu en Italie pour exploser le compteur du commerce de la mode dans ce pays hautement exploitable en ce domaine. Vous allez vous demander pourquoi Hyppolite porte un nom Italien alors que c'est sa mère qui est italienne et que le mariage annule malheureusement le nom de jeune fille de la mariée? Il vous suffit juste de continuer de lire pour le moment, l'explication viendra en temps venu. Pour en revenir au deux tourtereaux, ils vivaient ce qu'on pourra appeller un amour presque parfait. Il n'y a rien de plus beau que le début d'une histoire d'amour, vous savez tous ça. Et sur un coup de tête ils officialisèrent leur union charnelle avec un mariage grandiose, festif et chatoyant. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais est ce que ce dicton parle-t-il vraiment d'une veritée? Non je ne crois pas, dès l'arrivée de l'enfant, les discordes pointèrent le bout de leurs nez. Impossible de s'entendre à la maison, disputes, hurlements... tout était bon pour se faire entendre. Hyppolite étant encore au stade de nouveau né, cela ne l'affectait pas encore. Mais quelque chose de regrettable se produit... ils continuèrent de vivre ensemble et cela risque de très vite dégenerer.

      "Il parait qu'a ma naissance mes parents se disputaient sans arrêt, en tout cas les sept premières années de ma vie ils étaient calmes, trop calmes peut-être. C'est lors de ma fête d'anniversaire (pour mes huit ans) que la première dispute depuis des années ressurgit. Pour une broutille de gâteau et de bougies, cela me fit beaucoup de peine, je me rappelle que ce jour là je suis montée dans ma chambre et je n'en suis pas ressortit jusqu'au lendemain matin. Ce qui se produit ce jour là se répeta tellement de fois qu'aujourd'hui encore je me revois dans ma chambre, tourmentée par le son des hurlements de ma mère et de mon père qui me torturaient les oreilles. Je revois mon corps agités de spasmes larmoyants et j'en ai des hauts le coeur. J'aurai pût essayer d'accepter, même petite que mes parents ne s'aimeraient plus jamais mais j'avais l'intime conviction que leur amour était trop fort pour que l'on puisse le laisser s'éteindre et j'allais faire une belle erreur. Une erreur que mon père et moins allions payer très cher.
      Je passais le plus clair de mon temps à dire à ma mère que je savais qu'elle aimait Papa, qu'il ne fallait plus faire semblant d'être en colère et que de toute façon je ne lacherai pas l'affaire. Je l'encerclais, l'étouffais sans me rendre compte qu'elle était déjà plongée dans une forme de depression héreditaire puisque sa mère avant elle en avait fait une. Elle passait des journées entières enfermée dans son atelier de peinture à peindre des toiles toutes noires et à me fuire. Elle ne voulait pas que rentre et m'évitait avec une sorte de haine qui à l'époque ne m'atteignait pas encore. Mon père ne savait plus quoi faire pour me consoler, il ne voulait pas dire que tout allait s'arranger avec Maman pour me berçer d'illusions mais il s'occupait de moi en père attentionné et ça je l'en remercie aujourd'hui. Il a toujours été là pour moi. Je ne peux vraiment hair ma mère puisqu'elle est quand même celle qui m'a porté dans son ventre durant neuf mois mais... il m'est difficile aujourd'hui je parler d'elle et de retenir mes larmes quand je pense à ce jour là. Il se passa trois ans de deprime pour ma mère, d'angoisse pour mon père et de doute pour moi. J'avais désormais onze ans. Je rentrai de l'école, assez joyeuse qui plus est et je me preparais avec euphorie à cette période de l'année que tous les enfants aiment: les vacances. Et oui, elles arrivaient à grand pas! Je me rappelle encore des rayons de soleil qui réchauffaient doucement mes délicates épaules dans ces ruelles italiennes. Oui elles me manquent ces ruelles de Rome que j'empruntais tous les jours pour rentrer chez moi. A la maison on parlait plusieurs langues, le plus souvent Italien mais il arrivait aussi qu'on parle anglais, pour faire plaisir à Papa. Cela m'a rendu bilingue et j'en suis assez fière. Je vais malheureusement devoir revenir à cette journée car mon coeur est trop lourd de porter ce poid, je dois me confier. Mais il m'est difficile de vous confier ce que je vais vous dire sans être aveuglée par les larmes. Maman est morte... Voila ce que m'a dit Papa quand j'ai vus les pompiers devant l'immeuble qui empéchaient d'accéder à l'intérieur. Sur le coup j'ai refusé d'y croire, j'ai attentivement observé la gens autour qui s'arrêtaient pour voir ce qui se passait. J'ai vus la concierge sortir et se diriger vers nous, les yeux trempées de larmes. Elle aimait bien Maman la concierge et là j'ai commençé à paniquer. Puis j'ai vu un brancard sortir, mais la personne était recouverte d'un drap blanc, j'osais esperer que sous ce drap il n'y avait pas ma mère. Mais mon coeur lui n'arrivait plus à croire à mon mensonge intérieur, il s'emballait déjà. J'ai courus jusqu'a ce brancard que les pompiers rentraient dans l'ambulance, ils ne cherchaient même plus à m'empecher d'entrer, et alors avec haine et panique j'ai soulevé le drap et là, allongée... livide et inanimée... Ma chère Maman. Ses traits semblaient apaisés, oui elle avait mit un terme à sa depression d'une manière assez violente. Je n'ai pas demandé la manière dont-elle avait trouvé la mort mais on jugea bon de m'expliquer qu'elle c'était pendue, j'avais déjà remarqué depuis quelques secondes alors la traçe qu'elle avait au coup. Ce jour là, je n'ai pas trouvé la force de pleurer. C'était trop pour moi, j'étais jeune encore pour comprendre ce qui avait réellement poussé Maman à mettre fin à ses jours. Mais au regard triste de Papa, j'ai compris que plus jamais sa ne serait pareil.
      Je ne vais pas vour dire qu'a l'époque cela ne m'attrista pas mais c'était tellement étrange que j'avais du mal à y croire. Tout était survenu si vite, les disputes et la depression... Comme un nuage noir dans ma tête. Les jours qui suivirent je m'entrepris de consoler mon père, n'arrivant même pas à me consoler moi même ce fût un bel echec. Mais à force de courage, Papa... mon héros remonta la pente et il m'aida. Je crois que je lui dois tout car avec sa force et son courage il nous a sortit la tête de l'eau à tous les deux. Mais c'est dur aujourd'hui encore de penser à ça, à ma mère. Et chaque fête des mères j'ai mal au coeur de ne pouvoir lui dire que je l'aime. Car malgré que les trois dernières années de sa vie elle n'a pas trop été là pour moi, je n'ai jamais cessé de l'aimer comme une enfant peut aimer ses parents. Ce qui dans un sens est logique. Papa et moi on a demenagé, vivre là où ma mère est morte était insurmontable. On est quand même resté à Rome, on est juste partit quelques rues plus loin mais il m'arrivait souvent en rentrant à mon nouveau chez moi de passer devant mon ancien chez moi. C'était difficile mais la vie continuait.
      Pour ce qui est du reste de ma vie, il fut plutôt pitoyable, non pas que je me détèste... enfin si je me détèste. Mais vous comprenez j'avais besoin d'une mère à l'adolescence, quand j'ai eu mes règles pour la première fois et que je n'ai pût vraiment en parler avec mon père j'aurai aimé que Maman soit là. Quand j'ai eu mon premier copain, ma première fois. Je n'ai eu personne pour m'expliquer quoi faire, j'ai dû me débrouiller. Puis mon père, ce héros, lui il travaillait pour me permettre d'avoir ce que je désirais. Il était fabuleux, il faisait tout pour que je sois la plus heureuse au Monde, malheureusement c'est de sa présence dont j'avais besoin et lui avait du mal à être sur tous les plans mais je ne lui en ai jamais voulu. Il a fait tant de choses pour moi. J'étais relativement naïve à l'époque, quand on m'a proposé une cigarette je l'ai saisis et je fume encore depuis. Comme toute adolescente j'ai aussi eu une periode de joint, pour s'éclater entre amis sa ne fait aucun mal. C'est quand on m'a proposé mon premier rail de C. que tout est devenu plus complexe. Au début j'ai refusé, pas touche à la drogue dure! Puis, un certain nombre de facteurs idiots tels que la rupture avec le copain actuel, l'engueulade avec une amie proche et l'approche d'encore un anniversaire sans ma mère on fait qu'un soir la ligne blanche sous mes yeux ne resta pas là où elle était. Je n'étais pas accro, je touchais un peu à la drogue mais juste en soirée. Quelques extas, des rails par çi par là, des buvards mais je gerais la situation. J'avais seize ans, on me disait que j'avais vecu beaucoup de choses pour mon âge, je ne m'en rendais pas compte. Et j'ai commençé à déraper, à devenir accro et les premières piqures devirent très vite vitales, viscérales pour survivre. Mais encore une fois, mon père me sortit la tête de l'eau. Cela dura un an, a mes dix-sept ans; mon père tenta de me faire arrêter et pour lui j'ai tout essayer. Pour son amour et sa force j'ai reussis à tenir des durées "clean" assez longues, je rechutais mais j'avais de l'espoir. Un an plus tard, aujourd'hui je ne me pique plus du moins c'est ce que j'essais de faire croire à tout le monde. C'est compliquée vous savez, mais le mensonge est devenu aussi facile que de respirer, un automatisme. Non je suis loin d'être malheureuse méprenez vous, mon histoire n'a rien de dramatique, je suis en vacance, je vais me ressourcer et tout ira mieux. On avisera après. Vous savez malgré que dans ce récit j'ai l'air d'une fille à probléme, le fait que j'ai perdu ma mère et que j'ai des soucis de toxicomanie ne change rien au fait que je suis une jeune fille de dix-huit ans presque comme une autre. Je cherche l'amour, le bonheur, les amis. J'aime mes fêtes, les sorties, le shopping. J'ai des passes de blues mais je suis jeune et je profite un maximum. Vous devriez essayer c'est fabuleux!"

      J'ai oublié de vous parlez de l'histoire du nom de famille. Il est simple, dans le testament de Madame il était noté qu'elle voulait que sa fille porte son nom de jeune fille ainsi que son mari. Pour preserver sa mémoire. C'est honorable n'est-ce pas?



    Dernière édition par Hyppolite Brushianni le Lun 22 Juin - 12:54, édité 1 fois
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    MessageSujet: Re: Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur.   Hippolyte rêvait aux caresses puissantes, qui levaient le rideau de sa jeune candeur. EmptyLun 22 Juin - 12:52

    Voila, fiche terminée!
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    Impec! Validée! Amuse toi bien ^^
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    Merci :D
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